Edit du 14 décembre 2008
Vous savez, chers Collègues, si vous avez eu quelqu'inquiétude à la lecture de l'un ou l'autre de mes billets, au lieu d'en parler directement à ma hiérarchie, vous pouviez m'en parler à moi, je ne mords pas ! Vous qui avez contacté immédiatement ma hiérarchie, si c'est l'inquiétude et la sollicitude qui vous animait, vous pouviez :
1° laisser un commentaire (les commentaires sont modérés, mais je l'aurais probablement publié);
2° m'envoyer un mail en interne;
3° me contacter par téléphone...,
bref, il y avait un nombre incalculable de possibilités de réagir plutôt que d'avertir ma hiérarchie.
Edit
Vous remarquerez que tout au long du présent blog, j'ai blogué sous pseudo, en ne citant nommément personne de mes collègues, je n'ai même jamais dit où je travaillais, c'est bien simple. Alors que quelqu'un de mon boulot se soit mis à fouiner dans ce blog au point de supposer m'avoir reconnu, au point de s'adresser directos à ma hiérarchie, vous imaginez ma joie... Je considère cette démarche comme une intrusion dans ma vie privée. Si j'avais blogué sous mon vrai nom, j'aurais compris. Mais la Netiquette veut qu'à condition de ne citer personne nommément, si l'on blogue sous pseudo, c'est qu'on n'entend donner sa vraie identité qu'à qui l'on veut bien. En l'occurrence, on n'a pas tenu compte de la Netiquette. Il y a donc violation de la vie privée. Foutez-moi la paix, "vous". "Vous" avez déjà fait assez de dégâts comme ça dans ce qui me sert de "vie" ('tain, j'ai l'impression que les visites vont se multiplier).